Journal d'un officier de la Garde Impériale

HRP : je vais un peu imiter 1RHP^^

RP :
16 mai 1812

Aujourd'hui, j'ai reçu une missive de mon adjudant Lhor :

Bonjour Officier Beyle,
Nous avons enfin pu pénétrer la ville après avoir passé 2 jours dans la rivière! Quel joie lorsque nous y sommes parvenu. Et comme les soldats et moi-même étions suffisamment motivé, nous avons combattu l'officier Fcharpyski qui s'était établi dans un quartier à proximité du notre :
je les ai lancé baïonnette au canon contre l'ennemi, et ce dernier a fuit après avoir abandonné 33 des leurs sur le sol. Comme je suis fier de mes soldats : ce n'est pas pour rien que nous appartenons à la Garde Impériale!
Adjudant Lhor

Pendant ce temps, moi-même et mes cuirassier sommes enfin arrivé en bordure de la ville centrale, tandis que les adjudants Soult J et Molitor ramène leurs unités au front.
J'ai bon espoir de bouter hors de la ville ces russes, malgré le fait que l'officier Teuf se soit établi sur la rive ouest!

21 mai 1812

Hier n'était pas une bonne journée. Déjà que mon adjudant Lhor s'est fait massacré par les russes en ville, mes cuirassiers et moi, qui sommes arrivé il y a trois jour au front, étions sur une petite plaine entouré de forêt et de quelques pavillons lorsque environ huit unités russes nous ont assaillit! Heureusement, grâce à leur excitation de vaincre des cuirassiers, ils n'ont pas vu une unités d'infanterie indemne derrière, commandé par l'officier Failloub. J'espère qu'il ne lui est rien arrivé...
Désormais, tout mon bataillons est en chemin vers le front. Mes voltigeurs ne devrait plus tarder, mais j'ai envoyé une estafette prévenir l'adjudant Molitor d'être très prudent au front.

27 mai 1812
Je suis arrivé au front hier, enfin, si l'on peut appeler front une zone vaguement proche de nos ennemis. En effet, mes cuirassiers et moi-même ne pouvont nous approcher car les troupes françaises se sont réunit et sont, je dois l'admettre, assez mal organisé : deux unités russes sont parvenues à entrer dans la ville après avoir passé leur journée dans l'eau, et personne ne leur a souhaité bonjour...

Ce matin, j'ai reçu une missive de mes adjudants Lhor et Soult J:

Officier Beyle,
J'ai le plaisir de vous annoncer que je rejoindrait les troupes de l'adjudant Soult dans deux ou trois jours. Le moral semble bon, en tout cas, mes hommes sont enthousiastes à l'idée de leur faire payer notre dernière déroute.
Adjudant Lhor

Officier Beyle,
Hier, nous avons lancer une attaque contre quelques russes, et je suis persuader qu'au moins la première ligne est tombé! Malheureusement, nous avons perdu sept hommes et dix ont reçu des éclats de bois : j'espère qu'on pourra les soigner.
Adjudant Soult J

J'ai répondu à ce dernier que Lhor ne tarderait pas.

27 mai 1812
Grave nouvelle!

Il y a quelques heures, ma compagnie commandé par Soult J a été lâchement attaqué par des russes. Comme l'attaque était surprise, Soult J a fait preuve d'un incroyable sang-froid et de courage : il est parvenue à sauver tout le monde, mais il a pris un mauvais coup sur la tête. J'ai su qu'il a eu le temps de m'envoyer une missive avant de périr :

Cher Officier Beyle,
Nous avons été attaqué par des russes! Ah les lâches! Ils ont <tâches de sang, je n'arrive pas à lire> l'eau! Tous sont sauf parmi la compagnies. Malheureusement, j'ai <...>la tête. Je me sens si faible.
Adieu mon ami,
Soult J

Dès que j'ai lue la missive, je suis partie bride abatue vers la compagnie. Lorsque je suis arrivé, il était déjà passé dans l'autre monde. J'étais accablé par la perte d'un de mes plus vieux compagnons d'arme. J'ai préparé une cérémonie funèbre, puis j'ai du choisir un autre adjudant.
C'est ainsi que, dans ces tristes condition, M. Joseph Bertha a été nommé chef de compagnie.

10 juin 1812

Cela fait presque deux semaines que je n'ai pas ouvert mon journal. En fait, comme j'étais à l'arrière, je n'avais pas grand chose à faire, donc à dire. Désormais, mes cuirassiers et moi-même sommes arrivés au point de rendez-vous de la cavalerie de la Garde : notre objectif est double, porter un coup au moral des russes lorsqu'ils verront déferlez sur eux près de 250 cavaliers, et tourner leur gauche afin de les envoyer sur notre centre très fort.

Hier, j'ai autorisé l'adjudant Lhor à avancer pour appliquer une impulsion sur l'ensemble des troupes françaises : cela facilitera une offensive prochaine.

Sinon, je suis très content du nouvel adjudant pour le 125ème. Joseph Bertha a su faire preuve de courage et de présence d'esprit rarement observé chez un officier fraichement nommé : il est parvenu à rassembler et à unifier les troupes. J'attends désormais une épreuve de feu pour connaitre ses réelles capacités...